Forum Futura-Environnement les forums de l'environnement Environnement, développement durable et écologie Traverse de chemin de fer Poubelle?  Répondre à la discussion Affichage des résultats 1 à 12 sur 12 28/02/2011, 18h33 1 kalel59 Traverse de chemin de fer Poubelle? - Bonjour, J'ai des traverses de chemin de fer dont je voudrais me débarrasser du fait de leur toxicité, mais je pense que la déchetterie n'accepte pas ce genre de déchets d'après ce que j'ai pu lire sur internet. Avez-vous une idée de ce que je peux en faire? Merci d'avance - 28/02/2011, 19h58 2 Cécile Re Traverse de chemin de fer Poubelle? Plutôt que les "on dit", mieux vaut déjà téléphoner à la déchetterie pour voir s'ils les prennent ou non. Et s'ils ne les prennent pas, peut-être auront-ils des pistes pour savoir qui peut les reprendre. 01/03/2011, 05h08 3 Re Traverse de chemin de fer Poubelle? Se retourner contre ceux qui vous ont vendu cette cochonnerie sans vous avoir averti de son aspect "déchet toxique"... Jusqu'ici tout va bien... 01/03/2011, 08h59 4 Re Traverse de chemin de fer Poubelle? Bjr à tous, Ces traverses sont trés recherchées par certains paysans cloture, petits ponts etc..... Une ptite annonce dans un journal gratuit !! A+ Aujourd'hui A voir en vidéo sur Futura 01/03/2011, 14h35 5 Cécile Re Traverse de chemin de fer Poubelle? Mieux vaut ne pas donner ces traverses elles sont traitées à la créosote, réputé cancérigène. Mises en terre comme clôtures, ou utilisées comme pont, elles polluent la terre alentours, ou les rivières sur lesquelles elles passent. Et celui qui s'en débarrasse ainsi peut être considéré comme responsable. 01/03/2011, 15h21 6 Re Traverse de chemin de fer Poubelle? En même temps, c'est très hypocrite puisque les piquets créosotés sont toujours légaux en utilisation professionnelle, tant que ces bois traités ne risquent pas d'entrainer des contacts cutanées avec du public. 01/03/2011, 15h49 7 Re Traverse de chemin de fer Poubelle? Envoyé par Cécile Mieux vaut ne pas donner ces traverses elles sont traitées à la créosote, réputé cancérigène. Mises en terre comme clôtures, ou utilisées comme pont, elles polluent la terre alentours, ou les rivières sur lesquelles elles passent. Et celui qui s'en débarrasse ainsi peut être considéré comme responsable. Bsr à toi, Le probléme c'est on brule pas on ne les utilise pas dans la nature. Ok , mais on en fait quoi ? Surtout que bien souvent , elles ont plus de qq décennies au plureil d'age ....la créosote ou ce qu'il en reste ça d oit pas etre un gros probléme ?? A+ 01/03/2011, 16h53 8 Cécile Re Traverse de chemin de fer Poubelle? On les donne à la déchetterie si elle les accepte, qui elle les mettra dans la filière appropriée... probablement incinération avec traitement des fumées ce qui n'est pas le cas quand on les brûle au fond du jardin. 07/03/2011, 11h58 9 Yoghourt Animateur Habitat Re Traverse de chemin de fer Poubelle? Envoyé par f6bes Le probléme c'est on brule pas on ne les utilise pas dans la nature. Ok , mais on en fait quoi ? On paye une entreprise spécialisée et agréée, qui va le valoriser comme combustible =>se faire payer en récupérant la chaleur d'un incinérateur spécialisé mais pas encore aux normes parce que mon bon monsieur c'est compliqué et ça coûte cher vous savez, et comme ça concerne aussi l'environnement immédiat des riverains et les risques de pénalités de conformité, il faut que la territorialité s'implique que le dossier avance plus vite => subventionner. Mais en attendant, promis juré craché, on ne brûle pas n'importe quoi, on fait attention, on fait notre maximum tout en étant bien conscient que c'est insuffisant. Blablabla... Oups! Quelle mauvaise langue je suis Sources la news futura sur ces mêmes traverses, les news JDLE sur les incinérateurs. La constatation des entassements de traverses bois au fûr et à mesure des travaux SNCF dans mon bassin. Quelques discussions très instructives avec des élus et cheminots. éco-rénovation l'aïkido du BTP 08/03/2011, 12h30 10 Re Traverse de chemin de fer Poubelle? Envoyé par Yoghourt ... Sources la news futura sur ces mêmes traverses, les news JDLE sur les incinérateurs. La constatation des entassements de traverses bois au fûr et à mesure des travaux SNCF dans mon bassin. Quelques discussions très instructives avec des élus et cheminots. Donc selon le principe rarement respecté de pollueur => payeur Envoyé par polo974 Se retourner contre ceux qui vous ont vendu cette cochonnerie sans vous avoir averti de son aspect "déchet toxique"... Jusqu'ici tout va bien... 11/05/2011, 14h40 11 Re Traverse de chemin de fer Poubelle? bon, je tombe sur cette vieille discussion et je rigole bien..... la créosote dite carbonyle est un sous produit de distillation du charbon; c' est un joyeux mélange de dérivés aromatiques benzéniques qui sont effectivement cancérigènes si on s' en badigeonne la peau ou les mange..... pendant une durée prolongée Et ça pue, ça c' est vrai..... mais tout de même 1 j' en ai utilisé très longtemps pour traiter des bois de clôtures, de bardages, et par miracle bien sûr je suis encore sur cette pauvre Terre 2 l' alternative, c' est des composés chimiques plus Nobles, plus chers pour qui le bénéfice et de toxicité pas nulle du tout des pesticides plus modernes.... 3les composés de la créosote ne me semblent pas contenir de chlore en cas de combustion, ça fera pas plus de dérivés toxiques qu' une bonne côtelette d' agneau rôtie, ou même une poêlée de frites quid de l' acroléine qui est l' arôme préféré des mangeurs de frites ou de méchoui? Et ça c' est cancérigène aussi.... Que représentent les fumées de quelques traverses de chemin de fer, par rapport aux fumées des diesels des millions de camions qui parcourent les routes pour notre bonheur? bon, une crainte superstitieuse de plus pour cacher la forêt de notre gaspillage général. mais c' est vrai c' est plus malsain de récupérer pour soi-même du vieux bois traité qui évitera de consommer d' autres ressources, bois neuf, traitements de ce bois, ou combustibles fossiles que -de dépenser des ressources transports, installations 'spéciales', etc pour l' éliminer selon la Morale, -de prendre la bagnole pour promener, l' avion pour aller voir, le camion pour ramener des nouvelles fringues de Chine ou de Thaïlande -d' acheter la super lasure chimique et prétendue écologique qui protègera ? la jolie barrière en bois importé du Gabon nb. question lasure l' huile de lin, c' est + efficace que les diverses lasures. Mais je fais confiance aux frères prêcheurs ils vont bientôt la déclarer cancérigène... et vive le développement durable au nom de la Sécurité Alimentaire les oeufs pondus dans l' Allier à quelques kilomètres de chez moi sont emmenés en Belgique pour être cassés selon les normes en vigueur, puis ramenés à 3 kilomètres de chez moi aussi... conditionnés en bidons plastique pour terminer dans l' usine de gâteaux secs d' à côté. Combien de CO2, de fumées de camion, pour ce petit voyage touristique? ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés les animaux malades de la peste! 13/05/2011, 09h34 12 Re Traverse de chemin de fer Poubelle? Sur le même sujet Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 21h52.

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C’est un maillage extraordinaire en 2019, le réseau ferré français s’étend sur environ 30 000 km de lignes exploitées, dont 2 600 km de lignes à grande vitesse. Pour les profanes et les fans des BD de Lucky Luke, ces formidables voies de transport apparaissent comme un long ruban d’acier posé sur des rondins de bois… mais c’est peu plus sophistiqué que cela ! Aujourd’hui, l’infrastructure d’une grande technicité combine de nombreux matériaux et notamment des matériaux minéraux pour des éléments aussi déterminant que le ballast, les traverses, les ouvrages… La locomotive sonne le départ, installez-vous pour ce voyage au cœur du chemin de fer tricolore ! Une histoire qui a commencé dès le Moyen-âge L’aventure du transport guidé » remonte très loin puisque dès l’époque médiévale, les hommes ont constaté que les charrettes se déplaçaient plus facilement lorsqu’elles roulaient… sur des rails qui limitaient les frottements. Au Moyen-Age, les chevaux tiraient ainsi des véhicules sur des voies en bois. Ce n’est qu’au 19e siècle, et notamment dans les années 1840 avec le boom industriel et les exploitations minières, que le progrès s’est accéléré. Les rails en aciers beaucoup plus solides sont apparus en Angleterre et se sont généralisés grâce à l’invention de la locomotive à vapeur en 1811 par John Blenkinsop. En France, l'expression chemin de fer » est apparue officiellement dans l'ordonnance royale du 26 février 1823. Elle autorisait la construction de la première ligne française à Saint-Étienne. Locomotive à vapeur Le ballast, un lit confortable et résistant… Techniquement donc, l’acier a été utilisé pour les rails mais ce matériau présentait un problème. Il a tendance à s’allonger et à se rétrécir sous l’effet des variations de température. C’est ainsi que les ingénieurs ont développé un moyen de réguler ce phénomène en créant le fameux ballast. Le ballast, c’est ce mélange de pierres et de graviers maintenant les traverses et sur lequel repose la voie de chemin de fer. Son rôle est de supporter le poids et la vitesse des convois et surtout de résister aux forces de l’acier et de ses distorsions. Le ballast joue un rôle mécanique il transmet les efforts engendrés par le passage des trains au sol en évitant toute déformation par tassement. Son rôle consiste aussi à enchâsser les traverses pour garantir leur résistance aux déformations de type longitudinal. En moyenne, les traverses sont posées sur un ballast de 10 à 35 cm d’épaisseur en fonction des caractéristiques de la ligne. Un système qui, deux siècles plus tard, est toujours le meilleur moyen d’assurer la stabilité de la voie ferrée. Roche de ballast utilisée pour la construction de chemins de fer. … c’est la pierre qui accomplit cette mission ! La pierre a donc rapidement été identifiée comme le meilleur élément pour supporter toute la pression. Le matériau est concassé et sa granulométrie doit osciller entre 31,5 et 50 mm. En moyenne, ce sont 2 000 tonnes par kilomètre ! Quant au type de roche utilisée, il varie en fonction des régions car ce sont toujours des entreprises d’extraction locales qui sont fournisseurs. En Auvergne-Rhône-Alpes, selon leur site d’origine, il s’agit de roche dure tel que le Basalte. Ces carrières sont ainsi appelées des ballastières. C’est aussi le nom donné aux wagons qui servent à leur transport. Pour accomplir leur mission avec efficacité, les différents éléments du ballast doivent s’imbriquer pour former une masse à la fois compacte et perméable. Si le ballast évite la déformation des rails, il joue un autre rôle tout aussi important il assure le confort des passagers ainsi que celui des riverains des voies ferrées. Les pierres ont en effet cette capacité à amortir les vibrations au moment du passage du train. Formant un matelas absorbant, les pierres absorbent l’onde de choc la disséminant de cailloux en cailloux. Sans ballast, cette onde de choc ferait trembler les édifices à plusieurs centaines de mètres aux alentours. Enfin, l’utilisation de la pierre assure une bonne perméabilité pour laisser l’eau ruisseler en cas de fortes pluies et éviter la formation de flaques. Le ballast, objet de toutes les attentions Malgré sa résistance évidente, comme tous les matériaux, le ballast subit différents types d’usure. Il peut d’abord être contaminé par la terre présente dans son environnement. C’est pourquoi, il est nécessaire de procéder de temps en temps à des désherbages mais aussi, tout simplement, de remplacer le ballast régulièrement. Avec le temps, le ballast a aussi tendance à se tasser sous les traverses ce qui finit par entraîner une déformation verticale de la voie. Il est alors possible de réinjecter du ballast de faible granulométrie. Tous les 7 ans, les agents du Réseau Ferré de France tamisent le ballast pour remplacer les pierres trop usées ou trop tassées. La durée d’utilisation de l’ensemble est d’environ 40 ans. Ensuite, le ballast doit être entièrement remplacé. Si vous ne le saviez pas encore, il existe plusieurs carrières de ballast en Auvergne Rhône-Alpes, dont une seule homologuée pour le Ballast TGV, située près de Vichy. Chemin de fer avec traverses en bois et ballast. Entre le train et le ballast ? La traverse ! La traverse est elle aussi un élément essentiel de la voie ferrée. Posée sous les rails en travers de la voie, elle maintient leur écartement et leur inclinaison. C’est elle qui transmet au ballast les charges des convois circulant sur la ligne. C’est donc grâce à elle que l’on a pu réduire de façon considérable le nombre de déraillements. En Auvergne-Rhône-Alpes, ces traverses sont principalement fabriquées en bois et en béton. Il en faut un nombre particulièrement important puisqu’en France, on en compte en moyenne 1 666 par kilomètre. Pour information, l’une des entreprises fabriquant les traverses en béton est basée près de Clermont-Ferrand. Dans le monde des traverses, le béton est un véritable atout ! Par rapport au bois, la traverse en béton a d’abord une durée de vie plus importante, environ 50 ans, grâce à son exceptionnelle résistance à l’érosion et à la corrosion. Elle avait d’ailleurs été introduite par les ingénieurs du secteur ferroviaire pour apporter une réponse au vieillissement naturel du bois. Les traverses en béton ont d’abord été installées sur les lignes à faible charge avant d’être de plus en plus utilisées, à partir des années 70, sur l’ensemble du réseau. La bonne maîtrise technologique du matériau s’est accompagnée d’un autre argument, celui de son coût. Les traverses en béton, grâce à leur poids important, assurent un meilleur ancrage de la voie dans le ballast. Aujourd’hui, elles sont utilisées pour toutes les lignes nouvelles à grande vitesse. Les rails sont ensuite fixés par des attaches élastiques équipées d’isolants en caoutchouc. Les traverses en béton sont de deux types. Les traverses biblocs sont formées de deux blocs de béton, les blochets, reliés par une armature métallique qui absorbe davantage les efforts en milieu de traverse. Quant aux traverses monoblocs, elles sont conçues en béton précontraint, amincies dans leur partie centrale, et armées de fils à haute résistance. Chemin de fer avec traverses en béton. Les viaducs ferroviaires, ces ouvrages qui ponctuent le réseau Le réseau ferré, c’est aussi de nombreux ouvrages d’art permettant quotidiennement le passage des trains. En région AURA, on pense immédiatement à certains grands viaducs ferroviaires. En fonction de leur époque de construction, ils ont été bâtis en pierre ou en béton pour des portées toujours plus impressionnantes. Elaboré en béton précontraint, le viaduc de la Côtière, par exemple, avec ses 1 725 m, est l’un des ponts les plus longs de France. Le viaduc de Longeray et ses trois arches en béton a lui pour particularité d’avoir été construit en pleine 2nde Guerre mondiale. Le viaduc de la Méditerranée, au moment de sa construction, en 1950, détenait le record mondial de portée des ponts-rails en béton armé à double voie ferrée suspendue. Le pont de la Voulte-sur-Rhône était quant à lui lors de son inauguration le premier grand pont-rail en béton précontraint. Le viaduc de Saint-Rambert joue pour sa part l’alliance des matières avec cinq arches métalliques, quatre piles et deux culées en pierre de taille calcaire et des dalles de béton sous les arches. Enfin, le viaduc des Fades, avec ses piles monumentales en granit et ses 132 mètres de hauteur libre, est encore aujourd’hui le plus haut pont ferroviaire de l’Hexagone. Viaduc des Fades en Auvergne, France. Crédit photo © Auvergne Destination Volcans Le chemin de fer du tailleur de pierre Terminons par un clin d’œil de la langue française. Saviez-vous que le chemin de fer était aussi le nom d’un outil du tailleur de pierre ? C’est en effet celui qui lui permet d’aplanir une face de pierre. Les chemins de fer sont des rabots utilisés pour surfacer les pierres tendres à fermes par une action de grattage. L’outil est ainsi composé d’une poignée et d’un corps en bois sur lequel des lames en acier sont enchâssées… Toujours bon à savoir pour briller en société ! CECI PEUT VOUS INTÉRESSER Le train du Montenvers, chemin de fer mythique taillé dans la roche Pédestres, ferroviaires ou routiers… Voici les 5 tunnels à traverser en Auvergne-Rhône-Alpes !

Elémentfondamental des voies ferrées, les traverse de chemin de fer en chêne d'origine France sont idéales pour aménager : un jardin, un parc, une terrasse, un air de jeux, un terrain de

/ VOIR / île de Ré / au temps des bacs Depuis 1988, année de l'ouverture du pont, Ré n'est plus vraiment une île. Ce fût la fin des bacs qui assuraient la traversée entre La Pallice et Sablanceaux. Ces bacs, mis en service après la seconde guerre mondiale, avaient succédé aux bateaux à vapeur. Le premier bateau à vapeur avait relié l'île à La Rochelle en 1834. Avant l'ouverture du pont en 1988, il y avait cinq bacs susceptibles d'assurer la liaison maritime entre le continent et l'île de Ré. Le "Gustave Perreau" Le "Gustave Perreau" était une ancienne péniche de débarquement transformée en bac. Le bac "Gustave Perreau", années 1950 Le "Gabriel Chobelet" et son semblable le "Maréchal de Thoiras" Le bac amphidrome "Gabriel Chobelet" - 1977 Avant l'ouverture du pont en 1988, le "Gabriel Chobelet" et son semblable le "Maréchal de Thoiras", faisaient partie des bacs qui assuraient la liaison maritime entre le continent et l'île de Ré. Le bac "Le Saintongeais" -1984 Le bac "Le Saintongeais" -1984 Pour tout renseignement concernant la traversée La Pallice-Sablanceaux S’adresser à la Régie Départementale des Passages d’Eau, à La Pallice, téléphone 28 61 48, Voyageur AR, 2,20 francs, Moto 7,20 francs, conducteur compris, Auto 13,20 à 15 francs, conducteur compris Le bac "L'Aunisien" - 1985 Le bac "L'Aunisien" - 1985 Avant l'ouverture du pont en 1988, le bac "L'Aunisien" faisait partie des bacs qui assuraient la liaison maritime entre le continent et l'île de Ré. On le voit ici navigant vers le continent après avoir quitté l'embarcadère de Sablanceaux. Le bac passe autos et voyageurs de l’avant port de La Pallice à la Pointe de Sablanceaux 30 services l’été, traversée ¼ d’heure. Le bac côtoie l’épave du paquebot Champlain’, coulé par les bombardiers allemands en 1940. 1988 - ouverture du pont de l'île de Ré Les bacs ne répondaient plus à l'accroissement du flux balnéaire des années 1980 et aux besoins des habitants de l'île et de l'économie locale. Le pont de l’île de Ré établit la liaison entre La Pallice, lieu-dit La Repentie, au nord-ouest de La Rochelle et la pointe de Sablanceaux sur l’île de Ré, commune de Rivedoux-Plage. Le pont de l’île de Ré a été ouvert à la circulation le 19 mai 1988. La courbe élégante du pont de l'île de Ré, de la pointe de Sablanceaux sur l'île de Ré à La Pallice au nord-ouest de La Rochelle. > en savoir plus sur le pont de l'île de Ré Images commentées de l'île de Ré dans les années 1970 - 1980, un témoignage unique qui nous plonge dans la période de développement touristique d'avant le pont. Découvrez ou re-découvrez l'île de Ré des années 70-80 en 70 photos numérisées à partir des diapositives originales, sous-titrées et commentée par leur auteur. Ars-en-Ré, Saint-Martin-de-Ré, La Flotte-en-Ré, les marais salants, le sel, les sauniers, le maréchal ferrand, les animations estivales, les jeux nautiques du centre nautique, les fêtes de la musique, les harmonies municipales, les fanfares, les majorettes, le café du commerce, l’auberge rhétaise, les régates, les optimistes, les cazavants, les planches à voile. Saint-Martin-de-Ré, au fond et à gauche, l’église Saint-Martin, appelée Grand Fort’, en raison des défenses qui la protégeaient autrefois. - 1978 Saint-Martin-de-Ré, derrière le port, l’église fortifiée de Saint-Martin. En 1625, le brave "Toiras", qui avait conquis l’Ile de Ré sur les Protestants, y allait à la messe, régulièrement. On raconte que, la veille d’une bataille, un officier lui ayant demandé la permission d’aller voir son père malade, il répondit "Allez…Tes père et mère honoreras…afin de vivre longuement". - 1978 Saint-Martin-de-Ré, de pittoresques bassins font comme une ceinture au quartier des marins, qu’ils encerclent complètement. - 1978 Saint-Martin-de-Ré, le port de Saint-Martin, le quartier des marins et la sortie du port. - 1978 Saint-Martin-de-Ré, au bout du quai, non loin de l’Hôtel de Clerjotte et du parc de La Barbette, il est possible d’acheter directement son poisson au bateau revenant de la pêche. - 1981 Ile de Ré, Ars-en-Ré dans les années 1970-80 Vincent Van Gogh aurait aimé ces tournesols, avides de lumière. Au loin, le clocher d’Ars, en noir et blanc, sert d’amer aux navigateurs - 1986 Ars-en-Ré, vue depuis le clocher sur la place de l’église, le restaurant Le Clocher’ et, à droite, les arcades du Syndicat d’Initiative. - 1980 Ars-en-Ré. Le Café du Commerce quartier général de tous les jeunes estivants, constitue également un arrêt providentiel pour les nombreux cyclistes faisant la traversée de l’Ile. - 1985 La gare d’Ars-en-Ré, dernier témoin d’une ligne de chemin de fer qui, autrefois, reliait Sablanceaux et Les Portes deux aller-retour chaque jour. Il fallait un peu plus de deux heures pour parcourir les trente kilomètres séparant les deux villages. - 1990 Ile de Ré, les venelles d'Ars-en-Ré dans les années 1970-80 Théâtres d’ombres et de lumière, les venelles offrent aux visiteurs les perspectives les plus variées. - Au fond de la venelle, pointe le clocher d’Ars, fin comme une aiguille, dans le ciel bleu azur de l’Ile de Ré. - 1980 Sur l’Ile de Ré, la rose trémière est la reine des fleurs, elle est ici chez elle. - 1982 La rose trémière, légère comme l’air que l’on respire, se balance doucement sur sa longue tige, au pied du clocher. - 1974 Tout ici est charmant…Le soleil, les gens, la maison, les fleurs. - 1984 Ars-en-Ré. Derrière cette façade, la voisine élève ses chats, ses poules et ses canards. - 1977 Entre la mer et le village aux maisons basses, d’une blancheur éclatante, de petites ruelles nous conduisent vers les petits jardins potagers, à l’abri, comme ici, d’une porte vermoulue. - 1980 Chaque promenade est un enchantement. Au pied des façades, agrémentées de quelque treille ou glycine, les géraniums rouges rendant plus éclatante encore la blancheur des maisons. - 1976 Certaines ruelles sont très étroites. Il a fallu tailler les angles des maisons, parfois, pour faciliter le passage des attelages. - 1980 Chaque ruelle est un jardin fleuri. - 1990 Ile de Ré - Ars-en-Ré - Le Port Ars-en-Ré, dans le port, les bateaux de plaisance ont remplacé les vaisseaux venus de Hollande ou de Scandinavie pour embarquer le sel - 1976 L’avant-port d’Ars-en-Ré et, au fond, la très jolie promenade qui, le long du chenal, mène au Fier d’Ars. - 1978 L’avant-port d’Ars-en-Ré - 1979 Le voilier sort ses voiles pour prendre le chenal et se diriger vers le Fier d’Ars. - 1978 Ars-en-Ré, une écluse permet, à marée descendante, de garder dans le vieux port d’Ars un niveau d’eau suffisant. - 1982 Ars-en-Ré, la marée haute a de nouveau rempli le bassin du port. Tout est calme. On peut commencer à franchir le chenal du Fier d’Ars pour la course au large. - 1978 Ars-en-Ré, le bureau du port et l’atelier de Monsieur Cazavant, inventeur du voilier "Le Cazavant". Chaque année, avait lieu, à Ars-en-Ré, le championnat du monde de la course des Cazavants - 1979 Ars-en-Ré, l’Auberge Rhétaise haut lieu de dégustation, à Ars, des produits régionaux - 1986 Ars-en-Ré, sur le port, l’Auberge Rhétaise, avec, à droite, le magasin d’accastillage "Blondeau Marine" - 1986 Ars-en-Ré, Optimistes. Les enfants prennent leurs premiers cours de voile sur de petites embarcations, les Optimistes. - 1973 Ars-en-Ré, Optimistes. C’est dans les marais que les enfants s’initient à la voile dans les meilleures conditions de sécurité. - 1974 Ars-en-Ré, Les participants se concentrent avant le départ du Tour de l’Ile de Ré en planche à voile. - 1985 Ars-en-Ré, Le départ a été donné. La lutte est serrée pour se classer dans le tour de l’Ile de Ré en planche à voile. - 1985 Le bac se rendant à La Pallice croise de fragiles voiliers, en promenade dans le Pertuis. - 1984 Retour d’un voilier au CNAR à Ars-en-Ré. - 1985 - 1985 - "Quel plaisir d’aller si vite, Et de voir son pavillon, Loin des terres qu’il évite, Tracer un noble sillon !" Alfred de Vigny 1985 - "Homme libre, toujours tu chériras la mer !" Beaudelaire Ile de Ré, Ars-en-Ré, le Martray Après le fort du Martray, la route longe la côte, puis oblique vers Ars, sur la droite, en franchissant les vignes. Des ormes majestueux longent la route, pliés par le vent. 1979 A l’entrée d’Ars-en-Ré, ce bel orme étend généreusement son beau feuillage, plié par le vent. - 1979 Sur la droite, en arrivant au Martray, ce vieux gréement repose sa coque sur un tapis de salicornes et de fleurs des marais. - 1987 Ile de Ré, La Couarde dans les année 70 Les chevaux viennent de tous les villages rhétais pour se faire ferrer à La Couarde. - 1978 Venant de Saint-Martin, à l’entrée de la Couarde, se trouvent la forge du village et le maréchal mains du maréchal ferrand et du cultivateur maintiennent fermement le fer à cheval sur le sabot, pendant la pose. - 1978 Ars-en-Ré - Les Animations Estivales dans les années 70-80 Dans l’Ile de Ré, on aime la musique… Un verre de pineau récompense les musiciens qui, ce jour-là, ont donné le meilleur d’eux-mêmes. - 1981 Festival de musiques en Ré. Les harmonies municipales de La Flotte-en-Ré, de La Couarde, de Sainte-Marie et d’Ars-en-Ré déploient fièrement leurs bannières, en défilant rue Gambetta - 1984 Les majorettes de Bois-en-Ré ouvrent le défilé, avec, à leur tête, un élégant Rhétais costumé et une jolie Rhétaise à la "quichenotte" - 1985 Ars-en-Ré, le défilé arrive, par la rue Thiers, sur la place de l’Eglise. Les majorettes, d’un pas léger, ouvrent le cortège. - 1984 Un jeune couple de Rhétais, costumés, précède, rue Thiers, les élégantes majorettes, marchant d’un pas léger. - 1984 Ars-en-Ré, cette année, de nombreuses troupes étrangères ont été invitées à la parade. Ici, les Anglais. - 1984 Ars-en-Ré, une dernière photo pour nous rappeler la bonne journée passée dans l’Ile de Ré. - 1984 Ile de Ré - Ars-en-Ré - Les Jeux Nautiques en 1983 Le " Le Cercle Nautique d’Ars-en-Ré affichait sa fière enseigne sur la rive droite du port en regardant la mer. - 1983 Ars-en-Ré. Chaque été, à l’occasion de la fête du "CNAR" avait lieu sur le port la célèbre parade annuelle des "OBJETS FLOTTANTS NON IDENTIFIES" - 1983 Ars-en-Ré - Le défilé des objets les plus divers voiture de gendarmerie, lit de repos avec voile, baignoire, terrain de tennis,…, tous très originaux. - 1983 Ars-en-Ré. L’escouade de gendarmerie se dirige vers le port…sans se presser. - 1983 L’équipe de tennis d’Ars-en-Ré a décidé, semble-t-il, de couler, "en toute illégalité", la 4L de l’escadron de gendarmerie. - 1983 Ars-en-Ré. En fin de parade, la résistance héroïque du dernier objet flottant, "la gendarmerie meurt mais ne se rend pas", ce sera la fin. - 1983 Ile de Ré - Les Marais Salants dans les années 70 et 80 Les marais salants, regroupés autour du Fier d’Ars, constituent l’une des activités principales de l’Ile de Ré. Au premier plan, le "souvron" avec lequel est remonté le sel, sur le chemin, par le paludier. - 1979 Les marais salants. L’eau de mer, amenée lors des marées par des canaux ou "étiers" se décante et se concentre dans une suite de réservoirs de moins en moins profonds. Dans les œillets, où elle parvient finalement, l’eau s’évapore et le sel se cristallise. - 1976 Les marais salants dessinent un quadrillage délimité par de petits talus ou "bosses" de terre argileuse. - 1982 On se déplace les pieds nus sur les bosses pour ne pas les abîmer. - 1983 Le saunier, de mai à septembre, "tire" à l’aide d’un grand râteau le sel gris déposé au fond de l’ "œillet". - 1983 De jolies paludières, avec une pelle plate, écument le sel blanc, "la fleur de sel", à la surface de l’eau. - 1981 Le sel égoutté, sur le chemin, est roulé dans une brouette jusqu’au "tasselier" pour former le "pilot". Ce travail pénible s’effectue de bon matin, à la "fraîche". - 1983 La récolte du sel est assemblée en tas ou "mulons", sur le bord de la saline, dirigés ensuite vers les "pilots". Des filets ou maintenant des bâches, en matière plastique, protègent des intempéries. Ces réserves de sel, ou "pilots", pourront atteindre deux mètres de haut. - 1983 Le magasin à sel d’Ars-en-Ré, créé en 1980. Le sel est destiné à la consommation humaine Sacs de 50 kg pour les boucheries et boulangeries Sacs de 10 kg pour les salaisons Sacs de 1 kg pour la consommation courante - 1983 Ile de Ré, La Flotte-en-Ré en 1978 La Flotte en Ré, Les bateaux de pêche et de plaisance ont remplacé les goélettes des Antilles, chargées d’épices, et les voiliers du Nord, venus chercher le sel et le vin. 1978 Le port de La Flotte. Au fond et à droite, la petite rue commerçante qui mène au marché. - 1978 Le port de La Flotte. A droite, le départ de la jolie promenade face au Pertuis Breton. - 1978 Les bateaux de pêche, serrés les uns contre les autres, dans le petit port de La Flotte. - 1978 Ile de Ré, l'Abbaye des Châteliers en 1986 Ile de Ré, Abbaye des Châteliers. Face au Pertuis Breton, le soleil caresse les vestiges d’une abbaye cistercienne fondée au 12ème siècle. Le chœur est percé d’une jolie baie en tiers point. - 1986 Ile de Ré, Abbaye des Châteliers. Dressé sur la lande couvrant le promontoire des Barres’, subsiste une élégante façade, reste de l’abbatiale, ruinée en 1623. - 1986

Unesolution innovante . Compagnie italienne, GreenRail crée des traverses de chemins de fer, à partir de matériaux recyclables, un cercle vertueux qui laisse place à une économie circulaire, pour ces traverses, elles-mêmes recyclables. Au total, 35 tonnes, à parts égales de plastique recyclé et de caoutchouc collecté sur des pneus en fin de vie, sont nécessaires pour créer un

Après le bois créosoté et le béton, les traverses de chemin de fer se mettent au recyclage. La start-up milanaise Greenrail a lancé en 2016 un projet innovant sur des traverses conçues à partir de plastique et caoutchouc recyclés. Ce projet s’inscrit dans le programme européen de recherche et d’innovation Horizon 2020. Conformes aux normes techniques internationales, ces traverses seront tout d’abord installées outre-atlantique avec le démarrage d’une première usine de fabrication en 2019. L’entreprise italienne Greenrail va-t-elle bouleverser la voie ferrée ? Si le diable se cache dans les détails, alors on peut imaginer que la traverse de chemin de fer révolutionne ce mode de transport d’ici quelques années. En apparence, une simple bande épaisse en caoutchouc noir vient remplacer la traditionnelle traverse en bois ou en béton. Pourtant, celle-ci renferme plusieurs innovations, tant sur le plan environnemental que technologique. Pour mettre au point son nouveau produit, Giovanni Maria De Lisi, président fondateur de Greenrail et inventeur de cette traverse grâce à l’exp . . . Ce contenu est réservé aux abonnés du site L'écho circulaire, si notre contenu vous intéresse, allez voir nos offres d'abonnements.

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bac en traverse de chemin de fer